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L’Hôtel de Ville de Nancy mis en vente sur Le Bon Coin

par Au Cœur de l'Immo, le

Sous la photo de l'Hôtel de Ville de nuit, le vendeur anonyme a rajouté "Premier arrivé, premier servi. A ce prix, il ne faut pas s'en priver…".

Sur Le Bon Coin, le vendeur décrivait l’hôtel comme un bien de 10 000 m² habitables et de 52 pièces, réparties sur 3 étages pour "y faire toutes les folies possibles." 

 

Malgré la "vue imprenable sur la place Stan" (Stanislas) et un jardin à "couper le souffle", l’annonce n’a pas duré.  

 

La mairie de la ville n’ayant pas apprécié la plaisanterie, a déposé une plainte pour "mise en vente abusive d’un bien communal", selon la porte-parole de la ville citée par l’AFP. 

 

Sous la photo de l'Hôtel de Ville, le vendeur anonyme a rajouté "Premier arrivé, premier servi. A ce prix, il ne faut pas s'en priver…". 

 

Reste à savoir si des propositions lui ont été faites…

 

Le Bon Coin et les biens communaux

 

Pourtant, la ville de Nancy n'est pas la première à être victime de ce genre de plaisanterie.

 

En mars 2013, le porte-avions Charles de Gaulle a connu le même sort.

Mis en vente sur le site du Bon Coin pour 250 millions d'euros, le vendeur qui se faisait appeler "François" disait agir "En raison de banqueroute nationale".

Les intéressés qui tentaient de composer le numéro ajouté à l'annonce étaient renvoyés directement à l'Elysée. 

 

 

Après un porte-avion et un hôtel de ville, il ne reste plus qu'à se demander quelle sera la prochaine vente exclusive du Bon Coin, dans la rubrique des biens communaux ?!

 

 

 

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