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par Au Cœur de l'Immo, le

Le projet de loi sur les logements sociaux, d'abord défendu au Sénat par la ministre du Logement, est jugé prioritaire par le gouvernement défendra d'abord au Sénat

1- Le projet de loi sur les emplois d'avenir, à l'Assemblée nationale, et celui sur les logements sociaux, au Sénat, lancent ce mardi la session extraordinaire du Parlement destinée à afficher la volonté du gouvernement d'accélérer le tempo.

 

Jugé prioritaire par le gouvernement, le texte sur les logements sociaux (que la ministre du Logement Cécile Duflot défendra d'abord au Sénat) vise à permettre à l'Etat de céder des terrains aux collectivités locales et d'augmenter de 20% à 25% la proportion minimale de logements sociaux dans les villes.

 

2- La demande de crédits immobiliers est restée inchangée en août par rapport au mois précédent, pour près de trois quarts des établissements (73,5%). 

Ils sont 24,4% à juger qu'elle a légèrement diminué et une faible proportion (2,1%) rapporte qu'elle a augmenté.

Les banques indiquent toutes que les conditions d'octroi n'ont pas changé.

 

3- Brigitte Kuster, maire UMP du XVIIe arrondissement de Paris, a saisi hier la ministre de la Justice Christiane Taubira pour qu'elle publie les résultats de l'inspection qu'elle a ordonnée au début de l'été sur le financement du futur palais de justice de Paris.

 

Pour mémoire, la construction du futur palais de justice, qui doit accueillir à l'horizon 2015 près de 9.300 personnes, a été confiée à un groupement d'entreprises mené par Bouygues, dans le cadre d'un partenariat public-privé (PPP) de trente ans. 

 

Le montant total du contrat de ce PPP est évalué à 3,5 milliards d'euros (hors taxes) dont le paiement par le ministère serait étalé sur 27 ans.

 

4- L'immeuble du 40-42 de l'avenue Foch à Paris saisi en juillet par la justice dans le cadre de l'enquête sur les "biens mal acquis" est au centre d'un imbroglio dans le voisinage, certains copropriétaires exaspérés par "ces troubles" ayant saisi la justice autour d'un contentieux sur le statut diplomatique du bâtiment, rappelant que dans leur immeuble, "l'activité d'ambassade est interdite" par le règlement de copropriété.

 

Pour rappel, les juges estiment que l'immeuble appartient à Teodorin Obiang, fils du président équato-guinéen. Ce que conteste son avocat, Me Emmanuel Marsigny, qui affirme que c'est la Guinée Equatoriale qui en est propriétaire.

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