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Moins consommer d'énergie, ce n'est pas renoncer au confort...

par Au Cœur de l'Immo, le

Moins consommer d'énergie, ce n'est pas renoncer au confort ni à l'avion, selon l'Ademe

Avant la présentation, mercredi prochain, du projet de loi sur la transition énergétique censé fixer le cap vers les économies d'énergie, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) s'est livrée à un inédit exercice de fiction: une étude décrivant les modes de vie des Français en 2030 et en 2050 compatibles avec les objectifs d'économies d'énergie retenus par le gouvernement.

 

Logements, déplacements, alimentation mais aussi loisirs et appareils électroménagers: l'Ademe nous plonge dans le quotidien de huit familles fictives représentatives (jeune couple sans enfants, couple de retraités, couple avec deux ou trois enfants, familles monoparentales, etc.) dans un monde nettement moins énergivore.

 

En mettant des noms et des situations sur des objectifs souvent très abstraits pour le commun des mortels, l'Ademe espère rendre le défi énergétique plus concret, voire "désirable", explique à l'AFP son directeur scientifique, François Moisan.  

 

Le gros des économies potentielles d'énergie proviendra des "deux postes les plus consommateurs" à savoir les logements et les transports.  Jusqu'en 2030, la rénovation énergétique à grande échelle des logements et la généralisation du chauffage urbain ou des pompes à chaleur peut permettre une partie importante des économies, selon l'Ademe.

Sur les deux décennies suivantes, l'effort devra en plus porter sur les transports, avec une place de plus en plus importante à des systèmes de partage des voitures et la généralisation des voitures hybrides et électriques.

 

 

 

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