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Pas de célibataires dans l’immobilier chinois

par Au Cœur de l'Immo, le

La nuit, à Shanghai

Une idée quelque peu saugrenue.
Il est vrai qu’aujourd’hui à Shanghai, un deux pièces est trois fois plus cher qu’il l’était en 2002.
Mais les chinois n’en sont pas à leur première restriction. En effet, l’an passé une mesure spécifiait que les « non locaux » n’avaient le droit de détenir qu’un seul bien dans la ville alors que les « locaux » pouvaient en posséder deux.

Pour être considéré comme « local », il faut avoir deux parents shanghaïens, travailler dans la ville depuis 7 années au minimum ou être marié à une personne de Shanghai depuis au moins 10 ans.

Aujourd’hui donc, les non mariés et non locaux n’ont pas le droit d’acheter dans la ville la plus peuplée de Chine, aussi riches soient-ils ! Cela permettra de calmer un peu le marché immobilier puisqu’a priori, sur les 18.000.000 d’habitants de la métropole, la moitié serait représentée par les « étrangers ».

Discrimination ou non, tous les moyens sont bons pour détourner la règle. Ainsi les faux certificats de mariage circulent largement depuis.

Pour pouvoir s’octroyer le droit de posséder un logement à Shanghai, il faut maintenant être patient.

 

Source : lavieimmo.com

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