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Une annonce du Bon Coin liée à une disparition ?

par Au Cœur de l'Immo, le

Le pavillon d'Amandine à Roquecourbe

N’y habitant plus, Amandine Estrabaud avait décidé de mettre en vente sa maison sur le Bon Coin. Elle y réalisait elle-même les visites et avait reçu un grand nombre d’appels téléphoniques depuis la mise en ligne de l’annonce.

La jeune femme vivait chez son compagnon, dont elle était séparée. Ne supportant plus cette situation, elle avait récemment décidé de venir habiter de nouveau dans son pavillon mis en vente.

 

Mardi dernier, à 13 heures, elle quitte le lycée dans lequel elle travaille, et se rend dans sa maison en vente. Personne ne l’a revue depuis. 

 

"Nous avons retrouvé sa porte ouverte, une boucle d’oreille et des chaussures près de sa maison", explique une source proche de l’enquête.

Pourtant, le procureur de Castres, Manuela Garnier, a expliqué à l’AFP, "il n’y a pas d’éléments probants permettant de dire qu’il y a eu un crime".

Et d’ajouter qu’il n’y avait "aucune trace de sang ou de lutte dans le pavillon" depuis que le logement a été examiné par les gendarmes.

 

Selon les dernières informations de l’enquête, elle aurait été aperçue mardi par un riverain, sur la route de Roquecourbe aux Salvages, alors qu’un autre l’aurait vue en milieu d’après-midi, dans le hameau de Roquecourbe près de la maison en vente.

De plus, un témoin évoquerait la présence d’un fourgon blanc devant le pavillon mardi dans la journée.

 

Des interrogations troublantes

 

Depuis cette disparition inquiétante, la région de Roquecourbe est ratissée par les gendarmes. N’ayant aucun élément en leur possession, un appel à témoins a été lancé. Ils tentent encore de savoir si Le Bon Coin a un quelconque lien avec la disparition.

 

Accident ? Disparition volontaire ? Ou mauvaise rencontre, peut-être due à l’annonce du Bon Coin ?

 

L’enquête suit son cours…

 

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